Jugement en assistance éducative, avec Placement, du 27 janvier 2022  
 
Sandrine Ahouanto se présentait en début d'audience devant la juge des Enfants. Elle lui remettait une copie d'une citation à comparaître en audience correctionnelle, et d'un courrier du Défenseur syndical, en demandant la récusation de la Juge, et le renvoi de l'audience. Déjà en janvier 2021, sous de faux prétextes, la juge Mélanie JALICOT privait Yuna AHOUANTO, âgée de 7 ans, de sa mère et de ses grands parents, pendant une année, de décembre 2020 à Janvier 2022; "visites suspendues et correspondances téléphoniques ou par courriers, SUSPENDUES !" Le 3 février 2022, Sandrine recevait le jugement de la même juge. Sandrine avait consulté le dossier d'assistance éducative, avant audience, découvrant uniquement deux rapports de l'ASE. Elle n'a donc pas lu l'audition de sa fille, la désarmant donc face à ses adversaires, en violation du droit français comme de la CEDH. Sans le moindre contradictoire, refusant le renvoi de l'audience, la Juge décidait, pour les deux années à venir, la coupure totale entre la mineure et sa mère. Sandrine AHOUANTO se retrouvait le lendemain soir, à l'hôpital, suite à une surdose de médicaments. Mon intervention a évité l'internement; je n'hésite pas à dire, qu'en violant les droits de Sandrine, en violant le Droit, Mélanie JALICOT, Juge des Enfants, par abus de pouvoir et pressions, et de manière aussi violente, venait de commettre le délit de "provocation au suicide".
 

 

     
   
   
   
   
   
  Page précédente